GV HENNEBONT
TENNIS DE TABLE

24/03/2016 | Saison 2016 - 2017

ROBINOT ET KREANGA PROLONGÉS, PROKOPCOV SUR LE DÉPART

Avec le recrutement de Liam Pitchford, on connaît désormais aux trois quarts le visage de la Garde du Vœu version 2016-2017. Le Britannique sera notamment associé à Quentin Robinot et à Kalinikos Kréanga, dont les contrats ont été prolongés d’une saison

Son arrivée précipite, en revanche, le départ du Tchèque Dmitrij Prokopcov. « J’ai dû faire un choix entre lui et Kalin’ (Kreanga), explique Boris Abraham. J’ai décidé  de renouveler ma confiance à Kalin’ pour une dernière saison (le Grec vient de fêter ses 44 ans), sachant qu’il occupera le poste de n°4 et qu’il ne devrait disputer que très peu de matches. Avec son expérience, j’ai estimé qu’il était mieux placé que Dmitrij pour remplir ce rôle. Cela m’a coûté d’annoncer à Dmitrij qu’on ne le conservait pas. À l’exception de cette saison où il déçoit, il a toujours répondu présent depuis qu’il porte le maillot d’Hennebont (en 2011). En plus d’être un joueur solide, c’est également une personne que j’apprécie. Mais c’est le sport de haut niveau qui veut ça, on est obligés de faire des choix. »

La saison prochaine, en plus de Pitchford, Robinot et Kreanga, la Garde du Vœu s’appuiera également sur un leader Asiatique, dont on ne connait pas encore le nom. Plusieurs possibilités s’offrent à Boris Abraham : tenter de conserver Chuang Chih-Yuan, relancer Chen Chien-An, qui n’a pas joué cette saison en raison d’une blessure au dos mais qui semble être sur la voie du retour au haut niveau, ou recruter un nouveau joueur.

Seule certitude : l’entraîneur Hennebontais ne compte plus sur le Japonais Koki Niwa, recruté l’été dernier, mais qui a déçu avant d’être remplacé par Chuang Chih-Yuan. «  On a un choix à faire, sachant qu’on doit tenir compte de l’aspect financier, souligne Boris Abraham. On est conscient que le niveau de notre leader déterminera nos ambitions. » Même si, en recrutant Pitchford, Hennebont a, sans doute, déjà réalisé l’un des plus jolis coups de l’intersaison.

SOURCE : Ouest-France du 24 mars 2016 par Stéphane Bacro

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